Nous avons découvert que les jeunes ruraux du Maranhão sont confrontés à de nombreux défis et incertitudes entre partir de l’État ou rester.

Parmi les difficultés à rester ici, on trouve les limites imposées par les restrictions du régime foncier, les faibles revenus familiaux, et par conséquent le faible investissement dans la production ; ainsi que la difficulté à accéder aux politiques publiques. Les jeunes de la campagne sont confrontés à divers défis pour atteindre leurs objectifs d’amélioration de leur niveau de vie et accéder aux politiques publiques telles que l’Éducation, la santé, l’ATER, internet et le logement.

Un jeune garçon, Geovane Oliveira, qui étudie et devait faire un devoir, a récemment rencontré un problème. Il vit dans une zone rurale et avait besoin d’un ordinateur ainsi que d’un accès à l’internet pour effectuer cette tâche. Mais, comme beaucoup d’autres, il n’y avait pas accès à internet et cette situation n’a été résolue que lorsqu’un ami l’a emmené en ville où il a pu faire le travail. Ce n’est là qu’un des nombreux cas qui se produisent quotidiennement.

L’un des principaux sujets de débat actuels est l’accès à l’internet dans les zones rurales.

C’est l’un des grands problèmes, car les jeunes des campagnes n’ont pas internet. La qualité médiocre de l’éducation, des maisons, des routes et de l’éclairage des rues ne sont que des soucis parmi tant d’autres qui doivent être améliorés. En 2015, des jeunes du Maranhão et de tout le Brésil se sont réunis avec diverses organisations et se sont rassemblés devant l’Esplanada dos Ministérios pour revendiquer leurs droits.

« NE QUITTEZ PAS LA TERRE POUR ÉTUDIER, N’ÉTUDIEZ PAS POUR QUITTER LA TERRE » (MÔNICA MOLINA).