Comme je suis actif dans les organisations de la société civile rwandaise depuis longtemps Je sais que la loi autorise les organisations à protéger les droits de la personne en donnant des propositions sur les lois et sur les politiques nationales

Si les organisations de la société civile n’aident pas les décideurs politiques à apporter des changements désirés, nous ne pourrons pas améliorer facilement nos conditions de vie Je donne l’exemple de l’APROJUMAP, qui a un programme d’amélioration de l’alimentation des familles plus pauvres
Ils ont pu négocier que les agriculteurs de riz plus pauvres puissent consommer leur production de riz eux-même
Ils étaient obligés de vendre le riz non décortiqué aux unités de transformation pour le commercialiser
J’ai compris que pour arriver au meilleur résultat, on y arrive en utilisant les canaux de communication.
On peut organiser des réunions publiques, des pétitions, des manifestations publiques mais pacifiques
En même temps on peut inviter les  médias traditionnels comme la radio, la télévision, la presse écrite
On peut profiter aussi des visites de parlementaires ou d’autres autorités politiques

«L’union fait la force », « si vous voulez aller vite, partez seul et si vous voulez aller loin, partez ensemble ».

«L’union fait la force », « si vous voulez aller vite, partez seul et si vous voulez aller loin, partez ensemble ».
Ainsi, j’ai appris que pour être efficace en plaidoyer, le mieux est que les organisations de la société civile s’associent pour avoir une voix constructive.
C’est comme ça qu’on améliore certaines politiques et qu’on adapte des lois.
Par ce que notre objectif est de promouvoir les meilleurs conditions de vie des rwandais.